DEREK MILLER / SLEIGH BELLS

Derek Miller Derek Miller
 
L Y EST NÉ / IL Y A GRANDI:

Pahokee, en Floride / Jupiter, en Floride


IL Y VIT:

Brooklyn, à New York


LES ORIGINES DE SLEIGH BELLS:

Derek Miller est serveur dans un restaurant brésilien lorsqu'il rencontre Alexis Krauss qui vient y manger avec sa mère. Quand il vivait en Floride, Derek faisait partie d’un groupe de metalcore, Poison the Well. Comme il l’explique à Alexis ce jour-là, il recherche une voix féminine pour un nouveau projet. Adolescente, Alexis faisait partie du groupe RubyBlue, mais elle vient d’entamer une carrière dans l’enseignement. Derek lui donne tout de même son adresse mail et Alexis finit par le contacter. C’est ainsi qu’est né ce duo de noise pop.

Son nom, Sleigh Bells, vient de l’étiquette des CD de démo sur lesquelles Derek écrivait.


INFLUENCES :

Public Enemy, Deftones, Depeche Mode, Cure, Funk Brothers, Amy Grant, Belinda Carlisle


PREMIÈRE CHANSON:

La première chanson que Derek a appris à jouer à la guitare est « Plush » de Stone Temple Pilots.


SES MOTS:

« Au départ, j’aimais tout simplement les sensations que procurent les guitares Jackson, leur son et leur look. Dès que j’en vois une, j’ai envie de l’attraper. C’est énorme le look, il joue une grande part dans la première réaction que t’inspire un instrument. J’ai joué sur des Telecaster pendant deux ans, je les aime toujours, mais leur manche ressemble plus à une batte de baseball. Il est un peu plus difficile à jouer. Les guitares Jackson sont légères et je les trouve magnifiques. Quand il y en a une dans les parages, j’ai juste envie de la prendre et d’en jouer sans cesse.

Avec Sleigh Bells, je pense que les gens ont cru que j’en jouais de façon ironique, car on nous prenait pour un groupe indé. Mais quand on nous voit sur scène, on ne retrouve pas le son ni rien d’autre d’indé. Notre style est plus agressif. Notre deuxième album en particulier sonne métal dans les grandes lignes : des guitares avec un gain élevé, de la double pédale… la seule chose qui ne soit pas métal, c’est la voix – elle est plus mélodique. La marque Jackson est un classique et j’avais envie qu’elle fasse partie de notre esthétique. » - Derek Miller

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